Impressions
mardi 5 avril 2016, par
Ambiance hall de gare de la Nef des fous.
Le Dépaysement de la pluie.
L’écho d’un Strasbourg inconnu.
La mémoire absente du Ginko Biloba.
Le bonheur sans fin de la porte-cochère qui s’ouvre en grinçant.
Psychanalyse à ciel ouvert.
Le bruit du vélhop que pousse Alain Walther.
L’envahissement du bruit des voitures, quand la police réveille.
Au café L’Étage, on termine sans plus s’entendre.
Et dans la nuit, la belle et inquiétante gare centrale.
Impressions partielles de déambulation
- Gare de Strasbourg, nuit
Écrit au club L’Étage après la marche.