Accueil > Châtenay-Malabry, 2 > Mœurs > L’expansion des Vallonnais
L’expansion des Vallonnais
lundi 18 novembre 2019, par
Une question s’est longuement posée, comment assurer l’écologie verte du quartier au milieu du désastre terrestre. La stabilité est bien belle, elle a convenu aux habitants pendant de longues années. Mais plus le temps passe, moins les choses changent, plus les questions deviennent dangereuses car moins il n’y a de réponses. Tous connaissent les règles de l’écoquartier, pas de dérivation, sinon expulsion. Mais lorsqu’ils voient que tout autour de l’écoquartier rien ne s’améliore, que Châtenay-Malabry reste ce qu’il est, que les habitants polluent, dégradent, tuent la Terre, les Vallonnais ne peuvent aboutir qu’à une conclusion : ils sont tout autant menacés que le reste du monde. Si la Terre finit par ne plus être, eux non plus, ils ne seront plus. Alors comment faire pour changer les choses ?
Des représentants sont élus et négocient avec le maire de Châtenay-Malabry. Le financement des ressources énergétiques par l’éco quartier est devenu plus que nécessaire au reste de la ville. Désertée depuis bien longtemps par les plus fortunés habitants à cause de zones polluées, La Vallée est le seul revenu qui permet au Maire de ne pas tomber dans les bas quartiers de sa ville délabrée. S’il veut conserver sa place, il n’a pas d’autres choix que d’accepter les revendications des Vallonnais pour améliorer le reste de la ville. Mais comment remettre sur le droit chemin des dérivants écologiques sans créer une révolte ?
Des règles. Mais des règles douces. Elles ne seront synonymes que de positivité, à l’image des Vallonnais. Même si ces derniers ne conçoivent pas la production de nouveau-nés, ils ne peuvent supprimer les futurs arrivants ou les enfants déjà grandissants. Alors pour tous les enfants de moins de dix ans, chaque famille se doit de planter un arbre. Rapidement, la ville n’aura d’autres choix que de se verdir. Peu à peu, l’écoquartier gagnera du terrain, imposera son fonctionnement, toujours convaincu que seule la nature possède des droits.