cinq semaines de rétention
lundi 7 décembre 2020 - D’une autre façon
(100) six et sept décembre
j’ai beaucoup aimé lire cet article contemporain mais
les fautes « lost in translation » sont moches – c’est difficile la vie la langue – un jour à quelqu’un qui parlerait la français comme sa langue maternelle (ou paternelle peut-être aussi ? je ne sais pas) on demanderait « savez-vous ce que c’est que dieu ? » il y aurait comme un blanc (c’est le cas de le dire) (bien que, dans cette culture, ce pays, cette vie donc donc, les couleurs deviennent quand même quelque chose de porté par la conscience qu’on dit collective – on aime mieux parler d’ « un inconscient collectif » mais on agonit parfaitement cette tentative de compréhension du monde) (on s’en fout complètement, c’est vrai) (du reste aussi, mais moins – la fille aînée de l’église) on lui poserait la question, et le type (ou la gonzesse) (le gonze) ne saurait pas ceque ça veut dire, à quoi ça réfère, ce dont il est question - est-ce que ça peut exister ? je me demande
la plaidoirie de Richard Malka au procès des attentats de janvier 2015 à Paris : c’est à la liberté qu’on s’en prend – le cintré de bleu tellement irrespectueux et clivant – pervers et hypocrite - s’adresser « aux jeunes » sous prétexte qu’ils écouteraient les « nouveaux médias » cette idée de tocard et de placard cette fausse empathie – la peur du virus la peur du vaccin : même combat – l’enlisement de la pensée, la constitution d’une pensée d’état d’urgence : le dos au mur, favoriser les industriels l’implantation des entrepôts les nouveaux médias ce qu’ils appellent la cinq gé – une horreur en marche
depuis des années – soixante treize – le travail du dimanche – toujours aimé les dimanches à cause du lundi qui les suit toujours – souvent – à chaque fois...
partir revenir – un jour on comptera ceux passés ailleurs à l’occasion de ces réclusions à répétitions – on ôte la liberté mais c’est pour notre bien et notre santé – on connaît bien sûr bien mieux notre bien que nous mêmes – on sait – on vous vaccinera – de votre plein gré sans que votre insu n’en soit froissé -