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De l’importance des cartes postales
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Partir pour Tahiti
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Du haut de la corniche
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Face à la mer
(Le Brusc)
Mobiles immobiles (ou immobiles mobiles) est le reflet des déambulations littéraires menées sur la côte d’Azur pour le compte de la CCAS en août 2017.
Première carte postale sonore, avec quelques cigales en prime.
Deuxième centre. La prise de son se fait à l’abri du vent, sur un parking entouré d’arbres, en direct, dans l’improvisation.
Retour au texte écrit. A la terrasse du bar, certains s’entraînent pour le tournoi d’échecs, tandis que quelques images restent en tête.
Devant la mer, une dernière fois. Une sensation de bout du monde, et pourtant nous ne sommes pas loin.
La tournée est terminée. Il faut rentrer mais en attendant de revoir Paris, dernière étape sur l’esplanade de la gare Saint-Charles.
Quand Martin Page fait l’éloge de la pluie.
Dans la ville de bord de mer décrite par Emmanuel Villin, les délimitations sont parfois assez floues.
Le metteur en scène Peter Brook s’interroge sur la nature du décor au théâtre.
Résider à l’hôtel par nécessité, est-ce avoir un chez soi, se demande le héros adolescent de la romancière portugaise Dulce Maria Cardoso.
Pierre Souchon, enfant, élève des poules, conseillé par son père.
Qu’est-ce qu’un paysage, et comment le voit-on ? Alain Roger, Henri Cueco répondent.
Les friches observées par Philippe Vasset.
Après une vie aventureuse, l’écrivain et journaliste Henri Calet regarde le monde de sa lucarne.
Pour la romancière japonaise Yôko Ogawa, écrire s’apparente parfois à un cheminement parmi les arbres.
Serait-il possible de ne plus bouger, de rester en place ? se demande Colette.
Agnès Varda, entre mer et jardin, regarde la côte d’Azur.
Quand Albert Londres se rend au café, à Marseille, c’est pour observer les marins.
Où est passé l’enfant ? Camille de Toledo évoque une scène du film Mamma Roma où l’inquiétude se mue en peur.
Chez Lula, le grand amour du peintre et écrivain Rezvani, la pluie du midi devient source de bien-être et d’élan.
Bizarre, ce parc décrit par Jean Echenoz... Un peu trop idéal, vous ne trouvez pas ?
Horizontaux ou verticaux, deux poèmes de Raymond Bozier à lire dans le sens que l’on veut - enfin, sur la page du livre, car sur le site les voilà tout ramassés.
Chez Emily Brontë, la perception du paradis n’est pas forcément partagée.
Comment s’appelle-t-il, déjà, cet arbre décrit par Nathalie Sarraute ?
La philosophe Annie Leclerc fait l’éloge de la nage.
Quand on arrive dans un lieu inconnu, quel désir de photo cette découverte entraîne-t-elle ? La réponse de l’écrivain et photographe Hervé Guibert.
François Bon le dit : précieuses, elles permettaient de découvrir le monde.
Le photographe britannique Cecil Beaton évoque la figure de Gaby Deslys, fantasque chanteuse de la Belle Epoque.
L’adolescente en vacances décrite par Brigitte Giraud n’a plus qu’un centre d’intérêt.
Fraîchement diplômé, Victor Segalen, 22 ans, devient médecin à bord de La Durance, qui le conduit vers des îles lointaines.
Une fille, un garçon, Marseille par Maylis de Kerangal
Seuls devant elle, qui devenons-nous ? se demande Supervielle